25. L'ENVERS DU DÉCOR

25. L'ENVERS DU DÉCOR

Si nous ne pensons pas toujours ce que nous disons, disons-nous toujours ce que nous pensons ? Daniel invite à dîner, contre l’avis de son épouse, son meilleur ami et sa nouvelle conquête. L’apparition de la jeune et sublime créature agit comme un catalyseur et provoque une tempête dans la tête des maîtres de maison, bousculant leurs certitudes, réveillant frustration, jalousie et aigreur.
Un Zeller de premier choix qui parle à tous ! Avec finesse et justesse, l’auteur explore ici le coeur des cinquantenaires confrontés à la réalité du temps qui passe et l’envie de vivre encore des choses loin de la routine journalière. Toute la mécanique du boulevard est là, mais en général dans ses pièces, l’intérêt se porte moins sur ce qui est dit que sur ce qui ne l’est pas. Ici, c’est tout le contraire. L’originalité de « L’Envers du décor » réside dans le fait que le public est le témoin et le réceptacle des pensées des personnages qui s’expriment en aparté. Les acteurs jonglent en permanence avec la technique du double langage et une vérité comique, cruelle et merveilleusement pathétique, apparaît.

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26. CELLE QUE VOUS CROYEZ

26. CELLE QUE VOUS CROYEZ

D’un côté, il y a Claire, 48 ans, qui se crée le faux profil Facebook d’une femme de 24 ans et entame une relation virtuelle avec Chris, 36 ans. En parallèle, Camille Laurens, l’autrice elle-même, assure à son éditeur que le récit de Claire n’est en fin de compte que le sien, la réalité dépassant de loin la fiction...

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27. SUMMERTIME

27. SUMMERTIME

Summertime est à la fois une occasion créée pour se réunir de nouveau et également un projet de recherche dont les objets centraux sont la chaleur solaire et chromatique, l’amplitude du mouvement et les relations humaines qui s’en nourrissent. Une chorégraphie qui reflète l’insouciance et le bonheur, un véritable baume au cœur pour tous.tes.
L’artiste, habitué des créations contemporaines à la limite entre danse et performance nous propose ici un grand retour à la chorégraphie centrée sur le mouvement. Pour ce faire, il réunit une équipe de pointe qui n’en est pas à son premier essai. La pièce est créée pour cinq danseurs et cinq musiciens qui nous viennent de part et d’autre de l’Europe et réunissent à eux seul.e.s huit nationalités. A cela s’ajoutent deux éléments : la lumière et la couleur, ingrédients scénographiques principaux. Musicen(ne)s et danseur(euse)s évoluent sur un tapis blanc dont l’accroche et la réflexion de la lumière contribuent à construire un univers vibrant et éclatant.
L’énergie rayonnante qui se dégage de la pièce est assistée par une création musicale directement inspirée d’un répertoire baroque. Les sonorités anciennes qui accompagneront les corps des danseur(euse)s, seront tantôt interprétées par le quintet « The Wig Society », tantôt enveloppée dans les compositions électroniques totalement contemporaines de Jean-François Lejeune.

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