9. Clara Haskil

9. Clara Haskil

Clara Haskil fut une pianiste exceptionnelle, dont le destin fut un chemin de souffrance et de gloire. Petite fille roumaine surdouée, elle sait à 3 ans reproduire au piano une mélodie de Schumann.
Soixante ans plus tard, la voilà reconnue à sa juste valeur, enfin. Elle centuple les concerts, est invitée partout dans le monde, sans pourtant avoir changé, comme si son enfance ne l’avait jamais quittée, luttant toujours contre les mêmes démons, la même difficulté pour une femme de se faire une place dans le monde musical. Laetitia Casta incarne la pianiste, et Isil Bengi donne vie au piano.
L’écriture de Serge Kribus et la mise en scène de Safy Nebbou s’emparent subtilement de l’histoire de cette femme, pour dévoiler un spectacle sobre, grandiose et d’une intense sensibilité. Le destin contrarié mais victorieux d’une femme pianiste, talentueuse et déterminée.

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14. Dolto - Lorsque Françoise paraît

14. Dolto - Lorsque Françoise paraît

1916.

A huit ans, Françoise a une révélation : quand elle sera grande, elle sera médecin d’éducation !

Personne ne la prend au sérieux. Surtout pas sa mère, effrayée par cette enfant à la pensée si libre. Mais Françoise n’est pas seule, son Bon Ange Gardien veille sur elle et la soutient tout au long des épreuves de son enfance.

Des épreuves que nous revivons avec eux, en remontant aux origines de la pensée de Françoise Dolto, et au gré de son regard d’enfant, à la fois si naïf et si clairvoyant..

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15. TOÂ

15. TOÂ

« Michel Desnoyer est auteur, comédien et metteur en scène de théâtre à succès. Un soir, il rompt avec Ecaterina après une énième et violente dispute dont elle ne veut dévoiler la raison… Michel décide alors de faire de cette rupture son prochain sujet de comédie : il en sera l’interprète principal et la séduisante Françoise jouera le rôle de sa maîtresse. Mais quand le rideau se lève sur la pièce, que les domestiques jouent leur propre rôle et qu’Ecaterina interrompt le spectacle… on ne sait plus très bien où commence la fiction et où s’arrête la réalité ! »
De Guitry, on ne retient souvent que les portes et les gifles qui claquent, les trahisons amoureuses, les traitrises misogynes et les répliques assassines agrémentées de bulles de champagne. Mais ce n’est pas tout... Guitry, c’est surtout une langue, une langue vive et luxuriante, jonchée d’une multitude de signes derrière lesquels apparait une extrême connaissance du plateau : c’est un acteur qui écrit. Ou bien un auteur qui pratique le plateau et qui manie avec virtuosité les rythmes, les ruptures... le dialogue. « Toâ » est une malicieuse comédie où Sacha Guitry questionne à la fois son oeuvre et sa propre vie…

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17. Concert : Requiem de Mozart - Notre « Dernier souffle d’Amadeus »

17. Concert : Requiem de Mozart - Notre « Dernier souffle d’Amadeus »

En cet été 1791, Mozart prépare avec enthousiasme son opéra « La Flûte enchantée », qui prône les valeurs humanistes de la franc-maçonnerie. Le couple Mozart, insouciant et prodigue, est fort endetté, et un curieux émissaire propose à Wolfgang de composer, contre rémunération, une messe des morts qu’il ne devra pas signer de son nom. Mozart accepte et s’y attelle aussitôt, mais il est interrompu par une demande expresse de Léopold II, tout nouvel empereur d’Autriche, qui doit se faire couronner « roi des états de bohême » à Prague, le 6 septembre. Il lui est demandé de composer et diriger un opéra sur un livret de Métastase intitulé « La Clémence de Titus ». Bien que malade, Mozart réussit le tour de force de créer cet opéra en trois semaines. De retour à Vienne, très fatigué il met la dernière main à «La Flûte enchantée», dont il dirige la première le 30 septembre au théâtre « Auf der wieden ». C’est un immense succès, qui nécessite de rajouter de nombreuses dates de représentation. Revigoré par ce triomphe, Mozart a la force de terminer un concerto de clarinette pour son ami Stadler et de composer deux cantates pour l’inauguration du nouveau bâtiment de sa loge, avant de reprendre son Requiem. Il en compose la majeure partie et donne des instructions précises à son élève Süssmayer pour compléter son projet. Complètement épuisé, il meurt le 5 décembre 1791, à l’âge de 35 ans.
Wolfgang n’aura pas connu le nom du commanditaire.

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22. Le Mensonge

22. Le Mensonge

« Une seule chose est certaine : toute vérité n’est pas bonne à ne pas dire… À moins que ce ne soit l’inverse.”

Dans la rue, Alice a surpris le mari d’une de ses amies avec une autre femme et se trouve confrontée à ce dilemme entêtant : faut-il lui dire ce qu’elle a vu ? Paul, son mari, tente de la convaincre qu’elle doit absolument lui cacher la vérité. Il fait ainsi l’éloge du mensonge… Est-ce seulement pour défendre son ami ? Ou a-t-il lui aussi des choses à cacher ? À moins que ce ne soit elle qui avance masquée ? Le théâtre de Florian Zeller est une invitation au voyage en eaux troubles. Traversée par un doute fondamental et permanent, l’oeuvre déjà très riche de l’auteur, par-delà la variété de ses tonalités, de ses thèmes et de ses situations, opère une véritable dissolution de la vérité. C’est un théâtre qui se joue de nous et de nos certitudes, en particulier celles qui se nichent au plus profond de nos êtres et qui ont trait, de manière générale, au sentiment amoureux.

« Le Mensonge » joue avec toutes les armes de la comédie pour mieux nous égarer, avec une efficacité particulièrement désarmante.

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23. L’Homme qui tua Mouammar Kadhafi

23. L’Homme qui tua Mouammar Kadhafi

Pour la première fois sur une scène de théâtre, un ancien officier de renseignements accepte de dévoiler les coulisses de son métier, ainsi que les secrets derrière l’intervention militaire française de 2011 en Libye.
Alexis Poulin est l’un des co-fondateurs du site d’information Le Monde Moderne. Il a mené une enquête sur les circonstances et les causes de la disparition du dictateur libyen Mouammar Kadhafi en octobre 2011. Dans ce cadre, il a fait la connaissance d’un témoin d’exception, qui a travaillé pendant près de dix ans pour la DGSE – le service de renseignement extérieur français. Et plutôt que de se confier dans un livre d’entretien, ou dans un documentaire filmé, il a accepté l’invitation d’Alexis Poulin et de Superamas à partager sur scène, avec le public, ce qu’il sait de cette affaire franco-libyenne.

Avec « L’homme qui tua Mouammar Kadhafi », Superamas et Alexis Poulin invitent le public à assister et à participer à cet entretien inédit, qui lève à la fois le voile sur une profession qui suscite de nombreux fantasmes, tout en révélant au grand jour les secrets les mieux gardés de la cinquième République française.

La presse :

« Au fil du récit, limpide, un scandale d’État prend corps dans les brouillards d’une guerre aux conséquences dévastatrices. Pour qu’un mensonge prenne, il doit contenir 95 % de vérité. L’espion nous manipule : c’est un as du jeu et de la mise en scène... » L’Humanité

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28. Concerto pour deux clowns

28. Concerto pour deux clowns

Les Rois Vagabonds, clowns traditionnels ou nouveaux clowns ? Avant tout, « poètes en action » selon la belle formule d’Henry Miller.
Il y a elle, violoniste, perruque blanche, visage fardé, visage blanchi des nobles de la Cour. Et il y a lui, un peu voûté, la barbe hirsute, portant tuba et ballots de paille, comme s’il revenait des champs.
Musiciens, acrobates, mimes, ces deux vagabonds se jouent avec aisance des frontières entre les disciplines. Ce Concerto pour deux clowns qui frôle les 1.000 représentations et que tout oppose, fusionne grâce à une partition musicale et corporelle de haute volée. Mime, acrobaties, musique, quelques mots à peine. Les Rois Vagabonds parlent un langage universel. Qu’on soit vieux philosophe ou petit enfant, on est surpris, on s’émerveille, on rit, on est ému.

Un duo tout en poésie et en finesse. Un enchantement à découvrir.

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30. Les Gros patinent bien

30. Les Gros patinent bien

Les Rois Vagabonds, clowns traditionnels ou nouveaux clowns ? Avant tout, « poètes en action » selon la belle formule d’Henry Miller.
Il y a elle, violoniste, perruque blanche, visage fardé, visage blanchi des nobles de la Cour. Et il y a lui, un peu voûté, la barbe hirsute, portant tuba et ballots de paille, comme s’il revenait des champs.
Musiciens, acrobates, mimes, ces deux vagabonds se jouent avec aisance des frontières entre les disciplines. Ce Concerto pour deux clowns qui frôle les 1.000 représentations et que tout oppose, fusionne grâce à une partition musicale et corporelle de haute volée. Mime, acrobaties, musique, quelques mots à peine. Les Rois Vagabonds parlent un langage universel. Qu’on soit vieux philosophe ou petit enfant, on est surpris, on s’émerveille, on rit, on est ému.

Un duo tout en poésie et en finesse. Un enchantement à découvrir.

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